Les flexi-jobs séduisent les patrons

Avec les prix qui explosent, le nombre de travailleurs devant recourir à un flexi-job pour finir les fins de mois a doublé par rapport à l’année dernière. 

Certains travaillent par ailleurs et sont obligés d’être livreur à vélo le weekend, parfois pour compenser les pertes liées au chômage temporaire. Ce sont aussi des pensionnés qui sont contraints de reprendre du service quelques jours par semaine pour compléter leur pension de misère. Les seuls gagnants sont les patrons qui en profitent pour tirer les salaires vers le bas et n’ont même plus besoin de signer de vrai contrat pour exploiter les travailleurs !