Crise du capitalisme : entre la peste et le choléra

La Banque Centrale Européenne a augmenté ses taux d’intérêt en mai, pour la septième fois depuis juillet dernier. Elle espère ainsi lutter contre l’inflation. Mais la hausse des taux d’intérêt provoque également des faillites de banques qui avaient pris l’habitude de se gaver de l’argent pas cher de la BCE. 

Ces faillites risquent de se transformer en une crise financière internationale entraînant des conséquences désastreuses pour les travailleurs et en augmentant le risque de généralisation de la guerre.

Hausse des prix ou crise généralisée, si rien ne change ce seront les classes populaires qui en feront les frais, pendant que les plus grands capitalistes trouveront de nouvelles opportunités pour s’enrichir.