ll est de plus en plus question de la dette de la Fédération Wallonie-Bruxelles, en charge de l’enseignement francophone. La dette s’élèverait actuellement à 7,2 milliards d’euros et pourrait doubler selon le ministre du budget de la Fédération, qui évoque même la dissolution possible de l’institution face à cette dette “insoutenable”.
Des tels discours annoncent de nouveaux sacrifices imposés aux enseignants et élèves au nom de la dette et du manque de moyens.
Pendant ce temps, le gouvernement trouve 9 milliards pour l’armée, et là, personne ne pose la question du financement. Cette société où seuls comptent les intérêts capitalistes, constitue une lourde hypothèque pour l’avenir. Une hypothèque insoutenable.