La crise de 2008 était partie de la spéculation des banques sur l’endettement des Américains pour s’acheter une maison. Seule l’intervention des Etats, consacrant des milliers de milliards, a sauvé les banques et empêché l’écroulement du système bancaire, au prix d’une austérité générale pour les populations.
Mais depuis, les dettes dans le monde ont augmenté de 40% pour atteindre… 200 000 milliards $ ! Un océan de dettes que les banquiers veulent convertir en profits… par la spéculation : sur les prêts aux États, aux collectivités locales, aux particuliers sur les maisons bien sûr, mais aussi la vente de voitures et même de voitures d’occasion.
Le capitalisme ne sait plus que préparer des crises toujours plus monstrueuses.