Dominique Leroy, CEO de Belgacom dit s’inspirer des pays voisins où les « coûts salariaux » n’atteignent que 24% du chiffre d’affaire contre 33% chez Belgacom, pour justifier vouloir baisser l’emploi.
Mais cette concurrence n’a pas de fin : en Allemagne, Deutsche Telekom annonce la suppression de 4 900 postes d’ici 2 ans. Les chefs d’entreprises ont tous les mêmes recettes : réduire le personnel, augmenter les cadences, pour augmenter les profits… jusqu’à la prochaine crise encore plus grave !
Face aux patrons du monde entier, les travailleurs ont les mêmes intérêts !