L’ami américain…

En visite à Bruxelles, Obama n’a pu qu’entre apercevoir les 1500 policés belges mobilisés, dissimulés par le cordon de ses 200 agents de sécurité américains. Pas d’autre avion dans le ciel de Zaventem, pas d’autres voitures dans le centre-ville de Bruxelles, pas d’autres clients dans son hôtel de luxe. A force d’imposer leur ordre mondial à coup de bombes et de drones, nos « leaders démocratiques » se sont fait tellement d’amis qu’il faut mettre une ville à l’arrêt pour qu’ils y mettent les pieds.