Le gouvernement fédéral se félicite des 3 milliards d’euros accordés au rail. En réalité, ce montant est inférieur de 400 millions d’euros au budget espéré par la direction qui prévoyait déjà la suppression de 2 000 emplois et une hausse des tarifs de 10%.
Pas de quoi se féliciter donc, mais de quoi augmenter encore la pression tant sur les cheminots que sur les voyageurs.