Socialisme ou catastrophe climatique

A travers toute l’Europe, des activistes du climat jettent de la soupe aux tomates sur des peintures célèbres, se collent eux-mêmes aux murs de musées ou à la route pour arrêter les voitures. Ces actions symboliques sont censées mobiliser ceux qui partagent leur angoisse face au réchauffement climatique.

Le nombre de victimes des évènements climatiques extrêmes, com­me des incendies, des sécheresses ou des inondations ne cessent de croître. Les scientifiques constatent que le réchauffement évolue selon le pire des scénarios envisagés et redoutent une catastrophe générale.

Les conférences sur le climat ne servent à rien. Les solutions techniques ne manquent pas, mais sous le capitalisme la course au profit prime sur tout, y compris sur l’avenir de la planète.

A part renverser le capitalisme, il n’y a pas de solution pour que les peuples soient libres de mettre en œuvre les moyens nécessaires pour faire face aux menaces climatiques et à l’épuisement des ressources naturelles.