Le recours aux flexi-jobs a explosé, avec une hausse de 40 % des travailleurs contraints de cumuler deux emplois pour boucler leur fin de mois.
Dans les soins de santé, une entreprise sur cinq dépend de ces travailleurs pour combler le manque de personnel. Résultat : des travailleurs épuisés, des services en crise, et des malades qui ne peuvent pas être traités dignement.
Les flexi-jobs ne sont pas une solution : en tant que jobs d’appoint mal rémunérés, ils contribuent aux salaires trop bas et masquent la dégradation des secteurs vitaux.