Après le groupe financier BlackRock, c’est au tour de Jeff Bezoz, patron d’Amazon, d’annoncer des investissements dans des projets pour « sauver le climat ».
L’armée de camions dans les rues pour livrer les paquets, les millions d’articles détruits chaque année parce que cela revient moins cher que de les stocker… tout cela n’est évidemment pas remis en question.
Mais il faut bien un peu de « com » verte pour justifier la manne d’argent public que les Etats riches s’apprêtent à distribuer aux grandes entreprises au nom du climat. Du blabla, c’est bien la seule chose dont ces capitalistes sont capables en termes de politique écologique.