La nouvelle ministre des finances nous apprend ces jours-ci qu’il manque finalement 2 milliards d’euros au financement du « tax shift ». Les baisses des cotisations sociales et des impôts prévues pour les entreprises restent donc encore à financer et, d’après la ministre, ce sera un exercice difficile en 2016 et 2017.
Autant dire qu’au lieu des 100 euros de bonus fiscal promis aux salariés pour 2019 on peut s’attendre à devoir combler le trou creusé par des cadeaux aux riches patrons… ou à nous défendre pour les obliger à payer !