Nos amis les dictateurs

Le gouvernement Michel a fait des pieds et des mains pour inviter le président iranien Rohani qui annoncer son intention de se rendre à Bruxelles cette année.

Nul n’ignore que l’Iran est un État tortionnaire, mais il recèle tant de richesses et un marché si prometteur qu’il n’est pas question de s’occuper des droits de l’homme. Même chose avec l’Arabie saoudite qu’une commission économique visita en 2014, occasion pour la princesse Astrid de se couvrir d’un voile…

Et c’était pareil lorsque Kadhafi visita la Belgique en 2004 ou le dictateur syrien Assad en 2008, lorsqu’il assista au défilé français du 14 juillet en 2008. Dorloter les dictateurs, les gouvernements européens ont toujours su le faire: l’argent d’abord. Mais pour ce qui est des réfugiés, il n’y a pas de place !