A Bruxelles, où des interdictions de circulation des véhicules polluants sont en place depuis 2018, les premiers touchés sont les pensionnés, les handicapés, les travailleurs précaires et les chômeurs.
Ces réglementations, justifiées par la lutte contre le réchauffement climatique, visent en réalité à développer un marché pour les voitures électriques dont les capitalistes européens ont besoin pour maintenir leurs profits.
Et pendant que les travailleurs et les pauvres sont sanctionnés au nom de l’écologie, des mines de charbon sont rouvertes dans toute l’Europe et de nouveaux terminaux portuaires sont construits pour emmagasiner du méthane acheté au quatre coins de la planète… pour produire de l’électricité.