Une centaine de demandeurs d’asile s’étaient installés dans des locaux de l’ULB plutôt que de continuer à dormir dans la rue. Ils en ont été expulsés par la police appelée par la rectrice de l’université.
Malgré l’obligation légale de leur fournir une protection et les nombreuses condamnations par le tribunal, le gouvernement et Fedasil continuent à refuser de donner les moyens d’un hébergement digne à plus de 3.000 réfugiés.
L’Etat ne respecte même pas sa propre loi… que l’ULB est chargée d’enseigner !