Les dirigeants de sept des États qui dominent la planète se sont retrouvés à Biarritz. Durant ce G7, la police a quadrillé la ville pour éviter les attentats, dit-on, et surtout les protestations contre la politique que mènent les grandes puissances.
Mais le souci des dirigeants mondiaux, ce sont les conséquences de la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine, la croissance en berne, les Bourses qui s’affolent…
L’organisation capitaliste de l’économie menace le monde d’une nouvelle crise généralisée. Bla-bla au G7 ou pas, la crise est à l’ordre du jour, disent les économistes partisans de ce système, et elle risque d’être pire que celle de 2008-2009.
Pour en finir avec ce système en folie et injuste guidé par la course au profit, la révolution sociale devient d’une urgente actualité pour l’immense majorité de l’humanité.