Le 3 février, des postiers ont débrayé spontanément au centre de tri de BPost à Bruxelles, le 6 février, c’était au tour des postiers des centres de distribution à Uccle et Soignies. Pressions constantes, charges de travail intenables, « oublis » dans les fiches de paie, climat de travail empoisonné, les postiers sont au bout du rouleau.
Il faut espérer que ces réactions se multiplient, entraînant toujours plus de travailleurs, à l’intérieur de BPost et même au-delà. Car l’exploitation que vivent les postiers, et les actionnaires qui veulent toujours plus, les travailleurs le vivent partout.