La grève des cheminots du 29 novembre, celle des conducteurs de train le 30 et 1er décembre, ont paralysé une grande partie du trafic. Même la direction de la SNCB a dit comprendre les revendications des travailleurs réclamant plus de moyens et de personnel ! Le gouvernement n’en a cure, le budget alloué reste largement insuffisant. Ses discours sur les alternatives à la voiture sont… des discours.
Les voyageurs retrouvent les perturbations « normales » du trafic, les trains annulés, les retards, le manque de places assises, les pannes de chauffage…