A entendre les porte-paroles de Leoni, cette décision a été prise par montrer « l’attachement de l’entreprise à l’Ukraine » et pour les ouvriers qui seraient sans revenus, si l’usine restait fermée.
Sauf que tout cela n’empêche pas le groupe VW qui est un des gros donneurs d’ordres, de chercher d’autres fournisseurs, au cas où la guerre rendrait la production impossible à Lviv. Et plutôt que de distribuer 3,7 milliards d’euros à ses actionnaires, moins de 7% de ce montant suffirait pour garantir un an de salaire aux 7000 ouvriers ukrainiens touchés par la guerre.
Oh oui, les capitalistes sont très « attachés »… aux profits.