Il n’y a pas que les Russes qui fuient pour ne pas être mobilisés.
Les habitants de villages à la frontière entre la Roumanie et l’Ukraine témoignent du « passage quotidien » d’ukrainiens qui tentent de traverser le fleuve frontalier Tisza, au risque de se noyer.
Mourir pour les oligarques ukrainiens et les capitalistes occidentaux est une perspective qui n’est pas plus réjouissante que de mourir pour Poutine.