Le nouveau contrat de gestion de la SNCB prévoit une augmentation de 10% de l’offre des trains… avec moins de matériel roulant et 2000 cheminots de moins d’ici 2032.
Déjà aujourd’hui, des trains sont supprimés par manque de personnel de bord, les travaux sur l’infrastructure sont sous-traités dans des conditions des plus dangereuses. Et dans les ateliers, la direction a désorganisé le travail et imposé des prestations de nuit à des cheminots au bord du burn-out. Ensemble, les cheminots ont accumulé des centaines de milliers d’heures de congé qu’ils n’arrivent pas à prendre.
Il faudra ne pas se laisser happer par le train de la rentabilité !