A Volvo Trucks, les travailleurs ont reçu la prime « d’inflation » que les entreprises bénéficiaires pouvaient verser pour faire semblant de compenser les salaires qui ne suivent pas les prix. Ils ont touché 2000 euros.
A Volvo Cars, déjà cet été, les syndicats ont annoncé qu’ils allaient faire pression sur la direction pour l’obtenir aussi et que, si elle était refusée, des grèves seraient organisées tous les vendredis. Entre-temps, on n’a rien vu venir…
Mais chez Volvo Cars, on en discute car avec la cherté de la vie, on pense argent tout le temps. Alors que ces 2000 euros, ce ne sont que des cacahuètes pour les actionnaires !
L’année passée, le secteur automobile a encore très fort augmenté ses profits. Les travailleurs ont bien raison de revendiquer leur part de tout ce profit produit : ce n’est en réalité que leur dû.