Dimanche 24 novembre, environ 2.500 personnes ont défilé à Bruxelles à l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Les manifestantes et manifestants dénoncent les violences sexistes et sexuelles que les femmes et minorités sexuelles subissent partout, au travail, dans la famille, dans la rue….
Les manifestants ont également tenu à rappeler que partout où la guerre fait rage, les femmes étaient les premières victimes des conflits armés partout dans le monde, y compris par le viol systématique. Des militantes palestiniennes ont pris la parole, et des femmes iraniennes et kurdes étaient présentes.
Dénoncer les violences faites aux femmes est une nécessité absolue, d’autant plus fort que la société capitaliste les engendre continuellement, tout comme la guerre et la misère !
Il n’y a rien à attendre des multinationales et des Etats à leur service pour abolir les violences sexistes dirigées contre les femmes. Le seul moyen d’y arriver passe par la lutte commune des travailleuses et travailleurs, pour renverser la société capitaliste et créer une organisation sociale nouvelle où l’intelligence et le travail collectif serviront à faire face aux oppressions plutôt qu’à augmenter encore un peu les profits !