Au congrès électoral du PS du 17 mars, il pleuvait des promesses : une pension de 1 500 € pour tout le monde et à 65 ans, les consultations chez le médecin et le dentiste gratuites, un repas chaud gratuit et bio par jour pour tous les enfants, les transports gratuits ou presque, une augmentation substantielle des salaires, un emploi garanti pour tous, un impôt sur la fortune…
Pour les élections, le PS rase gratis, mais une fois au gouvernement, il « découvre » à nouveau que c’est plus confortable de soutenir les patrons et les actionnaires que les travailleurs. Et il prend prétexte des coalitions… pour choisir de faire le contraire de son programme électoral. Comme à chaque fois.
Les travailleurs qui veulent changer leur sort compteront sur leur propre force collective, pas sur des mirages électoraux !