Ce 17 novembre, les chefs d’état européens se sont réunis à Göteborg, en Suède, pour clamer en choeur leur volonté de « promouvoir des emplois et une croissance équitable ». Ils prétendent s’engager pour « un marché du travail européen juste et fonctionnel ».
Voilà qu‘ils brassent des grandes phrases, mais la réalité est que devant les licencieurs que sont les Caterpillar, les Siemens, les Peugeot-Citroën, les ING et les Volkswagen… ils se tiennent à genoux.