Le conseil communal d’Anvers applaudit des deux mains le plan d’investissements de la famille milliardaire saoudienne Al Issa dans le port d’Anvers où l’entreprise saoudienne ERS envisage la construction d’une usine de traitement de déchets chimiques à quelque 3 milliards d’euros.
Pourtant l’un des financiers de ce consortium est le Saoudien Saleh Kamel, qui d’après la FBI, est un important financier d’Al Qaïda.
Mais qu’à cela ne tienne, le gouvernement d’Anvers envisage d’accorder la concession cette semaine. Rien n’a pourtant changé à part que le nom de Saleh Kamel a été biffé de tous les contrats, ce qui ne l’empêchera pas d’encaisser sa part des bénéfices.
Pendant que N-VA et CD&V ouvrent les bras aux financiers du terrorisme mondial à Anvers, les mêmes réclament qu’on ferme des frontières européennes aux réfugiés.