Ce sont les CPAS des communes qui seront priés d’aider à survivre les dizaines de milliers de personnes à qui le patronat refuse même une première embauche, quand le gouvernement leur supprime l’allocation de chômage.
Les mêmes CPAS des mêmes communes qui sont aujourd’hui en train de licencier pour combler les pertes financières suite à la débâcle de Dexia…
Mais comme dit un chant révolutionnaire du 19ème siècle : « Et gare ! à la revanche, quand tous les pauvres s’y mettront ».