1,1% d’augmentation en plus de l’indexation, c’est l’augmentation maximum des salaires dans les deux années prévue par l’accord interprofessionnel que les dirigeants syndicaux ont accepté. Autant dire rien, vu que rien n’empêche les entreprises de ne même pas octroyer cette augmentation, voire de diminuer les salaires.
« On a été chercher le maximum », a dit Tamellini qui remplace Goblet à la tête de la FGTB. Oui, zéro, c’est le maximum qu’on peut obtenir en s’asseyant avec les patrons, sans le rapport de force que peuvent créer les luttes collectives déterminées et conscientes des travailleurs. Alors, autant rester debout !