Suite à la rupture des négociations sur l’évolution des salaires, Conner Rousseau (Vooruit, ex sp.a) suivi par Magnette (PS) ont joué la petite musique suivante : si on ne peut pas augmenter les salaires dans les entreprises qui ont bien tourné, alors on doit aussi geler les dividendes versés aux actionnaires, et de froncer les sourcils et de se faire menaçants…
Voilà qui sonne très radical. Mais leurs trompettes de politiciens sonnent faux ! En réalité ils sont d’accord avec le maximum de 0,4% qu’ils ont accepté.
Les prix augmentent, les salaires doivent augmenter, et les dividendes en hausse montrent que l’argent existe. Mais ce n’est pas sur le blabla politicien qu’il faudra compter pour l’arracher !