Timmermans, le patron de la FEB, se dit catastrophé que „en Belgique, un jeune sur huit n’est plus à l’école, n’est pas au chômage et ne suit pas de formation. Et un jeune sur dix quitte l’école sans diplôme » et dit qu’il est urgent de baisser le chômage des jeunes qui s’élève à 16,1% en Flandre, 32,1% en Wallonie, 39,5% à Bruxelles. Une catastrophe en effet!
Alors qu’attend-t-il ? Son organisation obligera-t-elle ses membres patrons d’embaucher ?
Bien sûr que non, c’était juste pour demander plus de cadeaux encore au gouvernement. Car pour les patrons, le chômage peut toujours servir à ça, et à faire pression à la baisse sur les salaires.