Alors que le foot fait l’actualité des médias, les capitalistes du monde entier poursuivent leur business au Qatar. Le pouvoir émirati fait tout son possible pour les satisfaire en refusant de taxer les bénéfices des investissements étrangers pendant 10 ans.
Parmi ces sociétés, les capitalistes français sont très présents notamment dans l’armement avec une armée qatari équipée à 80% par la France au profit des actionnaires tels que Thalès ou Dassault. Et les capitalistes belges ne sont pas en reste, avec le groupe belge Besix qui a fait construire deux des huit stades de la coupe.
Au Qatar, c’est donc avec le soutien des puissances impérialistes que le luxe s’appuie sur une exploitation des travailleurs immigrés, dont des milliers sont morts au travail. Mais à la source de ces richesses se trouve un prolétariat d’environ deux millions de travailleurs venant du monde entier qui constitue une véritable force pour renverser ce système pourrissant.