La dette de l’Etat belge atteint à nouveau près de 107% du PIB, contre 87% en 2007, avant la crise bancaire. En 7 ans, malgré des économies « les plus importantes depuis la 2ème guerre mondiale » (dixit Di Rupo), la dette a augmenté de plus de 100 milliards d’euros.
Cet argent n’a pas été dépensé pour les pensions, les allocations de chômage, pour assurer un meilleur enseignement ou un meilleur transport à la population. Où est-il passé ? Dans quels coffres forts a-t-il disparu ?
C’est la question à poser, plutôt que d’accepter de nouveaux efforts.