Les temps sont durs pour certains milliardaires. Mark Zuckerberg, patron de Meta (ex-Facebook) a vu son patrimoine fondre de 122 milliards à « seulement » 55 milliards en un an. Une perte équivalant au budget de la santé du Brésil.
Les actionnaires n’ont donc pas été convaincus par la nouvelle orientation de Meta vers un monde numérique parallèle au monde réel.
Ne pleurons pas sur Mark Zuckerberg : son compte en banque est toujours assez garni pour lui permettre de vivre avec un salaire moyen pendant plus de deux millions d’années. Et le nombre de milliardaires a été multiplié par cinq en 20 ans. Ce monde-là, lui, est bien réel. Et il est révoltant.