La Russie riposte aux mesures d’embargo européennes par ses propres mesures d’embargo. Et déjà on nous parle de « patriotisme ». Pour l’instant, il faudrait manger les poires, œufs et côtelettes que les producteurs belges ne peuvent plus exporter vers la Russie, et demain peut-être se contenter des pertes d’emploi suite à la disparition de ce marché. Et le patriotisme des patrons ? Il s’arrête là où commence leur portefeuille.