En Italie, Suède, Hongrie, Pologne… Et aussi en Belgique, en France, en Espagne… des courants réactionnaires et d’extrême-droite se renforcent, sur fond de guerre Ukraine-Russie, guerre provoquée par l’OTAN et prolongée grâce aux armes occidentales. La guerre accélère la crise économique.
La hausse rapide des prix des carburants, du chauffage, des produits alimentaires et la menace d’un chômage encore plus important, créent une inquiétude générale. Où nous mènent les gouvernements ?
Déçus par les partis passés au pouvoir, une part grandissante d’électeurs votent pour “ceux qu’on n’a pas encore essayé” ! Mais tous ces partis réactionnaires et d’extrême-droite, pas plus que les autres partis qui les ont précédés dans les gouvernements, ne peuvent ni enrayer la crise, ni protéger les populations de ses conséquences, des hausses de prix et du chômage.
Par contre tous ces partis ont en commun de dénoncer « les étrangers » qui seraient « sources de problèmes », de limiter les libertés des femmes comme le droit à l’avortement, de diviser les travailleurs pour les affaiblir.
Car ces partis réactionnaires et d’extrême-droite soutiennent le patronat et le capitalisme et feront tout pour empêcher les travailleurs de défendre leurs intérêts.
Ils seront balayés quand éclateront des luttes collectives et puissantes des travailleurs.