« Il n’y a plus que 60.000 euros dans la caisse, pas assez pour payer les salaires de décembre », expliquaient les curateurs du Sheraton déclaré en faillite.
Sur les comptes de Rolf Nordström, propriétaire richissime de l’immeuble, il y a sans doute légèrement plus. De même que sur les comptes du groupe mondial StarwoodHotels qui détient la marque Sheraton et qui, à ce titre, se fait payer des licences d’exploitation, des services, etc.
En tout cas, il semble qu’il y ait suffisamment d’argent pour justifier des montages fiscaux menant jusqu’aux Bahamas.