Telle une meute de chacals, l’Eurogroup et le FMI serrent l’étau autour du gouvernement grec pour forcer son premier ministre Tsipras de renoncer à ses promesses électorales et l’obliger à augmenter la TVA et baisser les retraites… Pour le camp capitaliste, il s’agit de le faire reculer à tout prix, pour faire la démonstration à tous que les travailleurs qu’aucun pays n’échappera au remboursement d’une dette qui n’est pas la leur, qu’il n’y a aucune échappatoire à la soumission au grand capital.
Si Tsipras est dans une situation de plus en plus difficile, les travailleurs de Grèce et du reste de l’Europe n’ont pas encore dit leur dernier mot. Les dirigeants européens sont en train de semer la colère. Quand elle explosera, on les verra avaler leur arrogance.