Après Trump qui niait le réchauffement climatique, Biden veut soigner son image. À son initiative, une quarantaine de chefs d’État se réunissent pour parler climat. Une réunion virtuelle à distance, pour des engagements qui seront tout aussi virtuels.
Depuis plus de 20 ans les dirigeants des grandes puissances multiplient sommets internationaux et discours solennels sur la réduction des gaz à effet de serre sans résultats. Tous leurs engagements sont de la poudre aux yeux, car aucun ne veut imposer la moindre contrainte et le moindre contrôle sur les capitalistes directement responsables de la pollution. Le climat peut cependant servir de prétexte pour arroser encore plus les grandes entreprises.
Brasser du vent n’a jamais fait diminuer la température !