Le ministre de la mobilité, Georges Gilkinet, veut faire de la SNCB « l’épine dorsale de la mobilité ». Voilà pour la « com ».
Mais du côté de la SNCB, on envisage plutôt une augmentation des prix de près de 10%, notamment pour faire face à la facture d’électricité qui a plus que triplé, tandis qu’Infrabel réfléchit à supprimer 20% des lignes, faute de personnel et de moyens.
Le besoin de chemins de fer efficaces est plus que jamais nécessaire. Mais ce n’est pas le blabla qui fait rouler les trains, ce sont les travailleurs. Ils doivent pouvoir faire leur travail correctement, en étant correctement payés, ce qui loin d’être le cas aujourd’hui !