Luis Rubiales, patron du football espagnol, se tient les parties génitales quand il est content du match et a embrassé de force une joueuse. Et il se permet de nier les faits et de refuser de démissionner ! Ce culot et le soutien initial de la fédération espagnole témoignent du niveau de sexisme dans le sport féminin, d’une banalité révoltante.
Les joueuses de l’équipe nationale refusent de participer à des compétitions tant qu’il sera là et sont décidées à mettre ces tristes individus hors-jeu !