Les annonces se suivent et se ressemblent : 7 000 suppressions d’emplois pour la marque VW, environ 14 000 chez Audi, des économies drastiques aussi chez BMW…
Les justifications sont nombreuses : le passage à l’électrique qui demande des investissements, la quasi stagnationen Chine, le seul marché où les ventes avaient augmenté ces dernières années, les tensions commerciales avec les Etats-Unis, le coût du scandale du diesel…
Sur aucun de ces problèmes, les travailleurs n’ont la moindre prise, mais c’est à eux que les actionnaires présentent la note, déterminés à ne pas perde le moindre centime de leurs dividendes.
Il faut se préparer à défendre nos salaires avec la même détermination !