Dans les pays riches d’Europe et d’Amérique, l’argument principal des producteurs de voitures électriques est l’écologie qui promet aux acheteurs une « mobilité durable et responsable ». Hier, les mêmes vantaient les voitures diesel « propres ».
Une des conséquences du développement de la voiture électrique est d’ores et déjà que le cobalt, ingrédient nécessaire pour les batteries, devient une ressource très convoitée. Son prix a quadruplé en deux ans.
Presque la moitié des réserves de cobalt se trouve au Congo. Mais pour la population là-bas, il n’y a ni bénéfices, ni amélioration de leurs conditions de vie. Au contraire : des guerres entre bandes armées, financées par des voies obscures et extrêmement violentes font rage pour le contrôle des mines où le travail des enfants n’est pas rare.
Voilà le visage du capitalisme: des prouesses technologiques en façade, la barbarie la plus abjecte derrière.
Pour sauver l’humanité et sa planète, il faudra surtout se libérer des parasites capitalistes!