Le capitaliste Philippe de Moerloose, déjà suspecté de corruption, a servi d’intermédiaire entre le président du Congo, Félix Tshisekedi, et le groupe Volvo pour l’achat de 440 bus largement au-dessus du prix du marché.
Le contrat avec Volvo, que la justice bourgeoise y reconnaisse de la corruption ou non, n’est qu’une des nombreuses manières par laquelle le pillage et l’exploitation du peuple congolais continue.
Le même de Moerloose est impliqué dans un contrat entre la Chine et le gouvernement congolais pour la construction de routes. Sans rien faire, il s’est mis dans la poche au passage la modeste prime de… 25 millions d’euros.
Les achats de matériels à des prix souvent exorbitants, décidés par des gouvernements corrompus, sont finalement payés par les travailleurs congolais.