Raccourcissement, voire suppression de la quarantaine, possibilité d’imposer des heures supplémentaires, possibilité de rappeler des travailleurs en congé ou en prépension… Voilà quelques-uns des assouplissements du droit du travail obtenues par le patronat au cas où Omicron provoquerait trop d’absences.
Quand il s’agit d’imposer des reculs aux travailleurs pour sauvegarder ses profits, le patronat est tout à fait capable d’anticipation et de prise de risques… au détriment de la santé des travailleurs.