Le mont-de-piété, un organisme de prêt sur gage, voit la quantité qu’il prête augmenter. C’est une conséquence de la crise. De nombreux travailleurs en sont à mettre en gage bijoux, vélos ou autres objets ayant un peu de valeur pour réussir à payer les dépenses médicales, le loyer ou simplement finir le mois.
La pauvreté gagne du terrain car la société est organisée pour que les capitalistes s’enrichissent en exploitant et en faisant payer la crise aux travailleurs. Cette société est révoltante, il faut la renverser !