« Pourtant, les mesures d’économies, vous connaissez ! ». Interviewée au JT de la Rtbf, Laurette Onkelinx s’est vu opposer ses grandes tirades actuelles sur les bancs de l’opposition à ses choix en tant que ministre : « 3 000 suppressions d’emplois dans l’enseignement francophone en 1995, un petit Caterpillar » lui a lancé la journaliste.
Le sourire vissé aux oreilles, Onkelinx s’est réfugiée derrière sa parade favorite : « c’était la faute aux Flamands ». Ben voyons… Si « les Flamands » n’existaient pas, le PS serait à la tête du combat social… ou Onkelinx devrait trouver un autre prétexte.