Le 5 mai, les puéricultrices des crèches francophones se sont mobilisées pour une journée de grève qui a été très suivie. Elles ne se sentent pas seulement les oubliées dans la crise sanitaire, elles ont aussi dénoncé leurs conditions de travail difficiles, dues au manque de moyens, les subsides qui continuent à baisser, le non-remplacement des malades…
Une situation catastrophique dans l’accueil de la petite enfance, qui fait lui aussi, les frais des milliards d’argent public distribués depuis tant d’années aux banques et grandes entreprises. Il était temps qu’elles prennent la parole !