L’annonce par la direction de ne pas payer les primes promises a déclenché une colère bien légitime de la part des 200 travailleurs qui commençaient leur service à 5h du matin. Les travailleurs ont aussitôt débrayé pour protester, d’autant qu’AGC a versé des dizaines de millions de dividendes et a reçu de nombreuses subventions publiques. Les travailleurs ne peuvent pas accorder la moindre confiance aux promesses des patrons, et doivent rester vigilants pour les surveiller de près.