Siemens, qui avait décidé de supprimer 7 800 emplois en février, en a annoncé 4 500 de plus. Au même moment, le groupe publie ses bénéfices. Ils ont triplé pour atteindre 3,9 milliards d’euros, en particulier par la vente de certains secteurs d’activités. Au bout du compte, les actionnaires vont toucher des dividendes en augmentation de 15%. Au même moment, Areva annonce la suppression de plus de 3 000 emplois.
La bourgeoisie augmente sa fortune aujourd’hui en détruisant les moyens de production et en jetant les travailleurs à la rue. Ce n’est pas une fatalité. C’est une course au fric qu’il faut arrêter par l’interdiction des licenciements et la répartition du travail entre tous pour un bon salaire.