Ils n’en n’ont jamais assez

Les cotisations patronales sur les salaires baisseront donc de 33 % à 25 % d’ici 2018. La FEB ne dit pas merci, mais réclame encore plus : « Nous espérions 13 % dans le secteur du bâtiment, où les taux étaient déjà à 25 % ! »

Sauf à accepter de sombrer dans la misère, on n’a pas le choix, il va falloir que les travailleurs arrachent des embauches et des augmentations de salaires, et revendiquent une baisse du temps de travail et le contrôle des comptes des entreprises.