Le tribunal correctionnel de Gand n’a pas condamné un présentateur radio accusé de viol. Pour le juge, il ne s’est pas agi d’un viol « brutal » (il peut donc y avoir des viols courtois ?). D’après le tribunal, le violeur avait « mal interprété » les signaux donnés par la victime (qui n’a pas donné des signaux, mais prononcé le mot « non » plusieurs fois).
On veut obliger les demandeurs d’asile à suivre des cours sur le respect vis-à-vis des femmes, il faudrait y faire de la place pour quelques juges belges.